LE TREMBLEMENT DE TERRE / EL TERREMOTO (DIEGO)

Diego, le petit coiffeur sur la Plaza de Armas (la place centrale) me raconte le tremblement de terre.

"J'etais dans le salon, assis en train de lire le journal et puis ca a commence a trembler, un peu, et ensuite plus fort. J'allais sortir et puis bien sur j'ai pense a mon frere. Je suis monter le chercher et on est descendu lentement, comme on nous apprend pendant les exercices a l'ecole. Tu comprends, on pourrait se casser quelque chose, et ne plus pouvoir bouger. On a courru au milieu au milieu de la place, il y avait deja des gens, ils ne disaient rien, ils avaient peur. Plein d'autres etaient en train d'arriver. Ca tremblait tres fort. On avait l'impression que ca allait durer tout le temps."



Hum... hum...

Il y avait beaucoup  de bruit vers l'eglise *. Les gens ont commence a sortir  en courantils priaient, ils criaient :
- mon Dieu, a l'aide ! mon Dieu au secours ! Mon Dieu aies pitie!
et d'autres choses comme ca. D'autres etaient a genoux, ils ne couraient meme plus, ils pleuraient. La terre tremblait encore, mais moins. Il ne faut pas prier seulement dans ces moments la, il faut toujours prier.
On entendait des cris mais surtout des gros bruits qui venaient de partout dans la ville. L'eglise, le haut avait commence a disparaitre, il s'est  enfonce un peu plus, puis tout s'est effondre d'un seul coup. Il y a eu plein de cris, plus plus rien. Enormement de pousssierre, des murs qui tombaient partout, des cris, des gens qui arrivaient de partout et puis c'est devenu tout calme."

Diego me dit aussi :

"tu comprends l'eglise etait non seulement ancienne mais elle etait en adobe (en terre) comme beaucoup de choses ici. Un coup de peinture dessus et ca y est. Mon endroit il a resiste parce-qu'il est petit, pas haut. D'un cote c'est du ciment, de l'autre des briques, il est entre deux autres. Cette ville c'est une fantaisie. (fantasia ?)

J'etais un peu triste alors je suis alle boire un pisco sour, ca m'a rappele pourquoi j'etais venu ici. Plus tard quand j'ai chatte avec Manuel, il n'en revenait pas que je ne sois pas alle  a la reserve de Parancas ni aux Iles Ballestas. En fait, je n'avais pas trop le moral. Je suis parti en fin d'apres midi pour Nazca ou Fernamdo le patron de l'hotel Micaluz m'attendait. En avant pour de nouvelles aventures !

* de l'autre cote de la place.

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 Diego, el joven peluquero de Plaza de Armas me cuenta el terremoto.






" Estaba en el local, sentado, leyendo un periódico. Empieza a temblar un poco, y luego mucho más. Iba a salir pero de repente pense en mi hermano. Sube a buscarle y lentamente bajamos, como nos enseñaron durante las repeticiones en la escuela. Ves, podríamos rompernos el brazo o la pierna, y pues no poder moverse. Corrimos al centro de la plaza, donde ya habia mucha gente.

No decían nada, tenian miedo.. Mas estaban llegando.. Temblaba muchisimo. Teníamos la impresión de que iba a durar para siempre.  Había mucho ruido cerca de la iglesia *. La gente iba saliendo, rezando, gritando :

- ¡ Dios mio, ayudanos! ¡ Dios mio socorro! ¡ Dios mio, en tus manos, nos encomendamos!

Y mas cosas asi. Otros estaban de rodillas, ya no corrían, lloraban. La tierra todavía estaba temblando, pero menos. No hay que rezar solamente en estos momentos, siempre hay que rezar. Se oían gritos pero sobre todo ruidos fuertes que venían de todas partes de la ciudad. La iglesia, su cúpula empezó a desaparecer, se hundió un poco más, luego todo desaparecio de una sola vez. Estaba lleno de gritos, y pues nada. Mucho polvo, paredes que se derrumbaban por todas partes, mas gritos, gente que llegaba de todas partes y al fin se volvió muy tranquilo. "

Diego me dice también:

- Mi local resistio porque es pequeño y no es alto. Por un lado hay cemento, por el otro son los ladrillos. Ademas se encuentra entre dos tiendas. Esta ciudad es una fantasía.

Un poco triste me fui a tomar un aguardiente que me acorde porqué vine a Pisco. Más tarde cuando hablé con Manuel, él me regañó amistosamente :

- que diablos ! No fuiste a la reserva de Parancas ni las Isla Ballestas tampoco ? De hecho, la platica con Diego me habia desanimado. Al fin de la tarde tomé el bus a Nazca donde Fernando, el patron del hotel Micaluz me esperaba.¡ Adelante para nuevas aventuras!

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