Après avoir reçu le bagage, bouscule par les chauffeurs de taxis, j'ai demande ou changer de l'argent pour prendre un taxi mais le gars m'a répondu qu'ils ne s'en chargeait pas, contrairement a ce que l'on nous avait assure a Guayaquil. Il nous fait rapidement sortir du garage et nous voila, au moins quelques uns, des étrangers surtout, sur le trottoir avec des dollars et non avec avec des soles, la monnaie locale. On se demande quoi faire et puis soudain, une main se fourre dans ma poche, y saisit ce qu'il y a, j'ai a peine le temps de me retourner que je vois déjà un mec courir au loin avec un autre a ses cotes. J'espère naïvement un moment qu'il lui coure après mais ce n'est qu'un complice.
Je saute le reste... a quoi bon... ? Je raconte ce qui m'est arrive a des badauds qui s'approchent et bien sur tout le monde y va de son attendrissement hypocrite avec des conseils aussi tardifs qu'entendus mille fois, oubliant que ce genre de truc peut arriver a tout le monde y compris en plein Paris.
Bref je me trouve sans porte-monnaie (70 dollars), sans carte de crédit et sans portable, un petit portable acheté Colombie dont je ne m'étais jamais servi. Même si j'ai la rage, il faut quand même réagir. Je parle de tout cela au jeune de la CIFA (la compagnie du bis) qui avoue que la plupart des chauffeurs de taxi sont des "vagos", des bidons, et quand j'en parle a l'hôtesse, elle répond qu'il y a une salle d'attente dont elle s'est bien abstenue de nous parler a l'arrivée a Piura. Elle me donne quand même 3 soles, le prix de la course du taxi.. Malgré cela, je demande a l'un des chauffeurs de taxi bidon qui m'avait tellement presse pour me conduire a l'hôtel s'il peut le faire maintenant que je n'ai plus d'argent. Il sourit et tourne sa gueule ! Enfoiré ! Va au diable !
Dans la réalité il me reste heureusement une cinquantaine d'euros dans la poche a documents. Cela m'aidera a tenir. Pour la suite, le plan est simple. Je préviens ma sœur, elle fait bloquer la carte de crédit, elle m'envoie de l'argent par Western Union et quand j'arrive a Lima j'ai ma nouvelle carte.
Que Dios la bendiga ! (Que Dieu la bénisse !)
¡ EL ROBO!
Después de haber recibido el equipaje, iba a cambiar dinero para tomar un taxi pero el joven me respondió que no habia cambio con ellos. El nos hace rápidamente salir del garaje y aquí estamos, algunos, extranjeros principalmente, en la acera con dólares, sin soles, la moneda local. Nos preguntamos qué hacer y pues, de repente, una mano se mete en mi bolsillo, escoge lo que hay, y apenas tengo tiempo de volverme que vi a un hombre correr a lo lejos con otro un poco atras de el. Pero es sólo un cómplice.
¿Que pasa despues ? Cuento lo que me sucedio, curiosos se acercan y sobre todo el mundo vaya allá de su ternura hipócrita con consejos tan tardíos como entendidos mil veces, olvidando que este tipo de batea puede llegar a cualquiera.
Al fin me encuentro sin cartera ( con 70 dólares), sin tarjeta de credito y sin celular, un pequeño celular comprado en Colombia. Aunque este lleno de coraje, hay que reaccionar. El joven de la CIFA (la empresa de bus) reconoce que la inmensa mayoría de los taxistas son "vagos", falsos. Por su parte la chica de la CIFA, contesta que hay una sala de espera de la que se abstuvo de hablarnos cuando lleguemos a Piura. Todavia me regala 3 soles, el precio del taxi. Que amable ! (en serio) Pido a uno de los taxistas "vagos" que me tenía tanta prensa para llevarme a un hotel si puede hacerlo ahora que no tengo más dinero. ¡ Sonríe y vuelve su cara! ¡ Que cabron ! ¡Vaya al diablo!
En realidad me queda afortunadamente una cincuentena de euros en el bolsillo donde tengo los documentos. Esto me ayudará un rato. El plan es simple. Llamo a mi hermana, ella hace bloquear la tarjeta de credito, me envía dinero con Western Unión y cuando llego a Lima ya esta mi nueva tarjeta.
Que Dios bendiga a mi hermana !
Je saute le reste... a quoi bon... ? Je raconte ce qui m'est arrive a des badauds qui s'approchent et bien sur tout le monde y va de son attendrissement hypocrite avec des conseils aussi tardifs qu'entendus mille fois, oubliant que ce genre de truc peut arriver a tout le monde y compris en plein Paris.
Bref je me trouve sans porte-monnaie (70 dollars), sans carte de crédit et sans portable, un petit portable acheté Colombie dont je ne m'étais jamais servi. Même si j'ai la rage, il faut quand même réagir. Je parle de tout cela au jeune de la CIFA (la compagnie du bis) qui avoue que la plupart des chauffeurs de taxi sont des "vagos", des bidons, et quand j'en parle a l'hôtesse, elle répond qu'il y a une salle d'attente dont elle s'est bien abstenue de nous parler a l'arrivée a Piura. Elle me donne quand même 3 soles, le prix de la course du taxi.. Malgré cela, je demande a l'un des chauffeurs de taxi bidon qui m'avait tellement presse pour me conduire a l'hôtel s'il peut le faire maintenant que je n'ai plus d'argent. Il sourit et tourne sa gueule ! Enfoiré ! Va au diable !
Dans la réalité il me reste heureusement une cinquantaine d'euros dans la poche a documents. Cela m'aidera a tenir. Pour la suite, le plan est simple. Je préviens ma sœur, elle fait bloquer la carte de crédit, elle m'envoie de l'argent par Western Union et quand j'arrive a Lima j'ai ma nouvelle carte.
Que Dios la bendiga ! (Que Dieu la bénisse !)
¡ EL ROBO!
Después de haber recibido el equipaje, iba a cambiar dinero para tomar un taxi pero el joven me respondió que no habia cambio con ellos. El nos hace rápidamente salir del garaje y aquí estamos, algunos, extranjeros principalmente, en la acera con dólares, sin soles, la moneda local. Nos preguntamos qué hacer y pues, de repente, una mano se mete en mi bolsillo, escoge lo que hay, y apenas tengo tiempo de volverme que vi a un hombre correr a lo lejos con otro un poco atras de el. Pero es sólo un cómplice.
¿Que pasa despues ? Cuento lo que me sucedio, curiosos se acercan y sobre todo el mundo vaya allá de su ternura hipócrita con consejos tan tardíos como entendidos mil veces, olvidando que este tipo de batea puede llegar a cualquiera.
Al fin me encuentro sin cartera ( con 70 dólares), sin tarjeta de credito y sin celular, un pequeño celular comprado en Colombia. Aunque este lleno de coraje, hay que reaccionar. El joven de la CIFA (la empresa de bus) reconoce que la inmensa mayoría de los taxistas son "vagos", falsos. Por su parte la chica de la CIFA, contesta que hay una sala de espera de la que se abstuvo de hablarnos cuando lleguemos a Piura. Todavia me regala 3 soles, el precio del taxi. Que amable ! (en serio) Pido a uno de los taxistas "vagos" que me tenía tanta prensa para llevarme a un hotel si puede hacerlo ahora que no tengo más dinero. ¡ Sonríe y vuelve su cara! ¡ Que cabron ! ¡Vaya al diablo!
En realidad me queda afortunadamente una cincuentena de euros en el bolsillo donde tengo los documentos. Esto me ayudará un rato. El plan es simple. Llamo a mi hermana, ella hace bloquear la tarjeta de credito, me envía dinero con Western Unión y cuando llego a Lima ya esta mi nueva tarjeta.
Que Dios bendiga a mi hermana !
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